Voici les ateliers animés par Christophe Marx.
Ils ont été enregistrés en distanciel, et durent environ 1h30.
Notez bien leur Code, et demandez les ici.
Vous recevrez une note Paypal pour les régler ( 20€ par replay en audio ) et le lien pour les écouter et les regarder.
Il vous est demandé de respecter la confidentialité de ces ateliers, et de ne pas les diffuser.
- Mémento pour entrer en relation avec les personnalités « émotionnelles » CODE S 23
Ces personnes, volontiers chaleureuses, expriment leurs émotions et sont vivement intéressées par les émotions des autres. Si leur côté expansif n’est pas trop marqué elles sont souvent agréable à côtoyer, et savent établir autour d’elle une ambiance conviviales. mais si hélas elles se montraient hyper émotives et envahissantes il serait alors difficile de trouver avec elles la « bonne distance ».
Dans cet atelier, nous verrons comment potentialiser leurs points forts et contourner les difficultés pour établir avec elles une relation pertinente et authentique.
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Mémento pour entrer en relation avec les personnalités très « rationnelles »CODE S 24
On dit de ces personnes qu’elles sont précises, voire méticuleuses ou simplement intellectuelles.
Elles aiment la pensée rigoureuse et sont déstabilisées par les situations incohérentes. Il est important que 2 + 2 fasse bien quatre et vous pouvez compter sur leur logique pour résoudre les problèmes.
Mais du coup ces personnes peuvent paraître froides ou même dans la lune car perdues dans leurs pensées.
Dans cet atelier, nous verrons comment potentialiser leurs points forts et contourner les difficultés pour établir avec elles une relation pertinente et authentique.
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Mémento pour entrer en relation avec les personnalités « rebelles » CODE S 25
Comment réagir et se comporter face à des personnes qui contestent l’autorité, qui ont des problèmes avec le temps ( ils sont souvent en retard !) et n’hésitent pas à dire de nombreux « oui… mais » !
Ils ont une grosse énergie qu’ils ont du mal à canaliser et on a parfois l’impression à leur côté qu’ils ralentissent le mouvement.
Dans cet atelier, nous verrons comment potentialiser leurs points forts et contourner les difficultés pour établir avec eux une relation pertinente et authentique
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- Mémento pour entrer en relation avec les personnalités « rêveuses » CODE S 26
On a l’impression que ces gens sont un peu coupés d’eux-mêmes et des autres. En fait, pas tant que cela, mais ils ont un monde intérieur si riche qu’ils ont du mal à prendre l’initiative d’un échange. On va les dire timides, réservés ou rêveurs… Le monde des émotions leur est un peu étranger et même parfois les menace.
Pour entrer en relation avec eux, il faudra trouver le bon canal qui leur permet de s’ouvrir en restant en sécurité.
Dans cet atelier, nous verrons comment potentialiser leurs points forts et contourner les difficultés pour établir avec eux une relation pertinente et authentique.
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- La vie est injuste. C’est vrai… et alors ? CODE S 27
Depuis l’enfance on est très sensible à l’injustice. On est très attentif à l’égalité, à l’équité, et à l’absence du « deux poids, deux mesures ».
En grandissant, on est vite confrontés à de l’injustice. Même si individuellement ou collectivement on peut œuvrer pour faire valoir la justice, force est de constater que l’incohérence et l’injustice dominent notre monde.
Comment faire avec la loi du plus fort, qui évidemment fait gagner les puissants?
Comment accepter que les innocents souffrent et périssent, et que les coupables prospèrent impunément ?
Si encore une action politique ou sociale peut être bénéfique, cela ouvre à l’espoir d’une action correctrice ! Mais comment faire face au « destin aveugle » qui va faucher l’un et pas l’autre ?
Chacun de nous, sans exception, est tenté de donner sens à ce qui semble ne pas en avoir.
La principale de ces tentatives illusoires s’appelle « la rétribution » qui met en lien nos actions avec une peine ou une récompense, fut-elle dispensée dans l’au-delà !
Nous verrons dans cet atelier les conséquences néfastes de la rétribution et comment architecturer une recherche de sens qui puisse intégrer les innombrables injustices qui parsèment nos existences.
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- Craindre le jugement des autres : une prison dont on peut sortir CODE S 28
Cela paralyse bon nombre d’entre nous : on craint le jugement des autres, de nos parents, de nos amis voire de nos enfants… souvent l’ensemble de notre vie ratatinée dans cette prison : la crainte de ce jugement.
Avec un minimum de lucidité, on s’aperçoit que nous sommes nous aussi prompts à juger les autres.
Les dégâts de ces jugements sont considérables en terme de relation et d’épanouissement personnel.
Nous verrons dans cet atelier pourquoi le jugement s’installe si vite dans notre tête et comment trouver les antidotes !
Nous pouvons garder nos valeurs et nos impératifs éthiques, mais nous avons tous intérêt à ouvrir le champ d’une Vie qui ne juge personne, ni les autres ni… nous mêmes !
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- Vivre c’est risquer : pourquoi une telle peur ? CODE S 29
« Attention ne prend pas de risque ! »
Le risque, c’est souvent le fait de frôler la mort ou la catastrophe.
Ou tout simplement l’échec.
Mais qui se souvient que risquer, c’est aussi donner sa chance à l’imprévisible, au surgissement du neuf.
Combien d’entre nous sommes paralysés par la crainte de ne pas faire le bon choix….
Nous verrons, dans cette atelier, comment ne pas céder au terrorisme de « l’illusion du choix possible».
Nous passerons en revue les ressources nécessaires pour pouvoir risquer notre Vie, et accepter de découvrir au fur et à mesure les cadeaux d’une aventure qui, grâce à dieu, n’est jamais écrite d’avance.
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- Tout est sous contrôle ! Alors rien ne vit. CODE S 210
Le mot contrôle à deux sens:
Le bon quand il veut dire réguler ( les feux rouges contrôlent la circulation) ou savoir pour protéger ( contrôler l’évolution de la maladie )
Le mauvais sens quand il évoque la surveillance frénétique, la contrainte, l’obligation rigide. Dans ces cas là, je préfère même parler de sûr-contrôle.
Quand on a besoin de tout contrôler, on vit dans un monde rigide et faussement protecteur.
Là où ça se complique, c’est quand on veut contrôler
- soi même, ses émotions, ses pensée, ses réactions
- Et surtout les autres !
Commence alors une série de stratagèmes mortifères desquels il est bien difficile de se sortir.
A condition de connaître et mettre en pratique un lâcher-prise raisonné et salvateur.
Besoins, désir, envie… et frustration ! CODE S 41
Notre voiture a besoin de carburant pour avancer. Mais une fois le plein assuré, où va-t-on décider d’aller ? Et pour y vivre quoi ?
L’histoire de nos besoins à combler parle de notre narcissisme.
L’aventure de notre désir présuppose que nous sachions grandir devant la frustration.
Et que dire alors de ces multiples envies qui pétillent dans nos yeux, nos papilles… et nos coeurs ?
Nous ferons le point sur les dynamiques différentes de ces mots, pour s’y retrouver enfin et avancer vers ce qu’il y a de mieux dans la vie : grandir et aimer.
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- Honte et culpabilité CODE S 42
La honte n’est pas qu’un « sentiment ». C’est aussi un « état de non-être » qui nous retranche de notre humanité, et nous prive de la possibilité de rebondir et nous redresser. Mais qui donc nous a « fait honte », et qui pourra nous sortir de ce trou ?
La culpabilité intervient quand on se compare à une loi, une règle, à « ce qu’il faut ». Elle nécessite une capacité d’introspection, et balise en même temps le chemin de la réparation. Mais quand la culpabilité est abusive, et la culpabilisation manipulatrice, alors il faudra batailler pour désensabler l’estuaire.
Et retrouver l’eau claire d’une relation saine à soi et aux autres.
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- Se sacrifier … Vraiment ? CODE S 43
Se sacrifier, c’est « se rendre sacré » … soi-même ! Nous ferons le point sur ce qui mène au sacrifice du bouc-émissaire, en analysant la teneur intime du désir qui est mimétique, c’est -à-dire qu’il ne peut qu’imiter.
En s’appuyant sur les lumineux travaux du philosophe français René Girard, nous ferons le tour de cette clé universelle de compréhension de ce qui mène à la violence, et de ce qui permet de lui passer au large.
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- Déprime, dépression… Pourquoi tant de souffrance? CODE S 44
Le vécu subjectif de la dépression est terrible, et largement répandu. Mais s’agit-il d’une maladie, ou d’un symptôme ? Si c’est une maladie, le recours aux médicaments est un parcours quasi obligé. Mais si c’est un symptôme, alors il faut se demander de quoi.
La fièvre, comme la dépression est un symptôme ( certes parfois grave ou même mortel) mais ce n’est pas une maladie « en soi » : il reste toujours à en trouver la cause, pour la soigner ou la soulager.
De quoi la dépression est-elle le nom? Nous en découvrirons plusieurs, avec dans la foulée l’espoir d’un traitement efficace et non médicamenteux, puisqu’il s’adresse à la cause et non uniquement aux conséquences;
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- Parent ou « patron », les 4 façons d’agir CODE S 45
La fonction parentale pèse sur un grand nombre de personnes : père et patron ont la même racine latine.
Il faut bien un capitaine sur le bateau, et un pilote dans l’avion. Mais comment faire « autorité », sans faire « de l’autorité ».
Se garder de l’autoritarisme, sans être laxiste;
Etre présent sans être envahissant;
Accompagner sans écraser.
Guider sans imposer;
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- Le narcissique, pour le meilleur ou pour le pire CODE S 46
Bien sûr il faut pouvoir dire « je », et satisfaire ses besoins.
Mais quand on ne sait pas dire « nous », et que les besoins des autres nous apparaissent comme quantité négligeables?
Quelle limite entre le bon narcissisme qui est une saine estime de soi… et le tragique mauvais narcissisme qui laisse la personne seule dans son égoïsme ?
Est-ce une question d’âge ? A 3 ans, le petit garçon a du mal à jouer au ballon avec d’autres, parce qui il devra leur faire des passes, alors qu’il préfère garder SON ballon pour lui TOUT SEUL.
Est-ce une question d’éducation ? De nature personnelle ?
Ou faut-il chercher du côté de la culture , et de la dimension systémique de tout société ?
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- Au bout de l’attachement, rupture ou séparation ? CODE S 47
Comme le foetus attaché au placenta par le cordon ombilical qui le nourrit, nous sommes tous dépendants des liens qui nous relient aux autres et au monde.
Comme notre vie qui se déroule dans le temps, nos attachements ont tous un début, un milieu… et une fin.
Nous mettrons le projecteur sur les enjeux de ces liens et sur ce qu’il se passe vers la fin : rupture ? Séparation ?
» Si quelqu’un te quitte, dis lui au revoir, et tends les bras vers quelqu’un d’autre »
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- Homme ou femme ? : La théorie du genre contre la Genèse CODE S 48
Dans une approche sociologique, et non confessionnelle, nous irons repérer dans le mythe fondateur de la Genèse ce qu’il est dit de l’apparition sur terre de l’homme et de la femme.
Nous mettrons ces réflexions en perspective avec la Théorie du Genre, qui assume, non sans argument, que la différenciation entre homme et femme est largement conditionnée par la société.
Aucune de ces approches ne peut être récusée du bout des lèvres et chacune doit être respectée : néanmoins chacun a le droit d’avoir une opinion, de l’exprimer et de se savoir considéré avec respect par son contradicteur !
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- Sentiments parasites : qui ce racket extorque-t-il ? CODE S 49
Nous avons tous reçu dans notre enfance le conditionnement qui consiste à favoriser en nous le sentiment qui plaisait à nos parents, et à refouler ou méconnaître celui qui risquait de leur déplaire.
Du coup, on observe chez nombre d’être humains une substitution d’émotion par une autre, phénomène inconscient aux conséquences innombrables, tant en termes de somatisation, que de troubles psychiques ou relationnels;
L’analyse transactionnelle, avec pertinence, lève le voile sur ces réactions parfois incompréhensibles et suggère un chemin vers l’authenticité imprégnée d’ici et maintenant, qui permet de naviguer loin des récifs de « autrefois et ailleurs » !
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- Le management coopératif CODE S 410
Un salarié est payé pour effectuer le travail qu’on lui indique. Fermez le ban;
Cet adage digne d’un management du siècle dernier ( le 20° !) laisse la place à une façon plus féconde de travailler ensemble : sans nier la hiérarchie des responsabilités et des pouvoirs.
Chacun à sa place, et dans une réelle complémentarité empreinte de confiance et de respect.
Les entreprises (dans tous les sens du terme) humaines ne sont pas soumises à la loi implacable du « premier ou mort ».
Nous verrons quelques idées reçues à remettre en question et parallèlement quelques principes simples à (re) mettre au goût du jour, avec une touche de bon sens, et une pincée d’audace.
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- Quel avenir pour les enfants sexuellement agressés CODE S 411
Même si l’on veut bien admettre qu’il ne faut pas sexualiser la relation avec un enfant, même si l’on entérine la judiciarisation de tels actes, il est rare que l’on sache exactement l’ampleur du préjudice causé.
En cette époque où tout peut sembler permis, il est important de savoir le plus précisément possible en quoi consiste ce fracas psychologique et ses conséquences pour la vie entière.
Une psychothérapie souvent prolongée sera nécessaire, et la réparation personnelle et sociale devra tôt ou tard intervenir.
Nous verrons enfin le rôle délétère du silence, du non-dit et du secret dont le poids pèse si lourd sur les victimes.
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- Pardonner, d’accord… mais quoi et à qui ? CODE S 412
Pardonner, ce n’est pas effacer l’événement en faisant comme s’il n’avait pas existé. Ce n’est pas accepter, se résigner.
Ce n’est pas non plus oublier, ni chercher à faire plaisir, et encore moins chercher à éviter.
Pardonner est une démarche pro-active, en lien avec un deuil et en direction d’un surcroît d’énergie.
C’est la profusion de « cadeaux » qui signera alors la sortie du tunnel, et la victoire de la vie sur le triste visage de la revanche et du ressentiment éternel.
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- Structure, Processus et contenu CODE P01
Nous aborderons un sujet éminemment pratique : la différence entre le » contenu » et le « processus. »
Il s’agira également d’avoir un oeil sur la notion de « structure ».
Ces mots peuvent vous sembler abstraits, mais ils concernent des sujets parfaitement quotidiens !
Cet atelier sera l’occasion pour vous de les définir et surtout de savoir les utiliser !
Nous verrons s’il faut privilégier l’un ou l’autre, et nous partagerons exemples et illustrations.
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- Négocier un contrat dans la relation d’aide CODE P02
Nous verrons les différents types de contrat, l’intérêt de le négocier, les contre-indications…
Mais aussi les inconvénients si on s’en passe, les mauvais contrats, etc.
Avec ceux d’entre vous qui le désireront, nous ferons des exercices pratiques pour vous entraîner.
- Comportements passifs CODE P03
On a l’impression qu’être passif, c’est ne rien faire.
Confusément, on perçoit que c’est plutôt ne pas faire ce qu’il faut.
Et encore plus précisément : éviter une responsabilité.
L’analyse transactionnelle nous apprend qu’il y a 4 façons d’être passif, en ayant des comportements bien précis.
Nous allons décrire ces comportements, et voir ensemble comme faire en face d’un interlocuteur passif.
Question subsidiaire :
comment faire pour sortir de notre propre passivité ?
- En retard ! CODE P04
Il y en a qui sont toujours en retard. D’autres qui craignent d’être en retard.
Il y en a qui subissent le retard des autres.
Alors, quel rapport entre le « retard » et le fait « d’attendre » ou de se « faire attendre » ?
Nous analyserons les exemples que vous apporterez, et nous dégagerons une « approche du retard » pour au moins le comprendre, et si possible… y faire face !
• . Border line : passées les bornes, il n’y a plus de limite ! Code S 51
La bordure, c’est la limite. Souvent, on pressent intuitivement qu’une limite est dépassée, ou va bientôt l’être.
Il y a des personnes qui fonctionnent souvent dans leur vie « à la limite ». La conséquence est au mieux chaotique, au pire dangereuse.
Nous verrons comment on peut décliner cette problématique border-line de façon épisodique, au quotidien ou au contraire de manière permanente.
Nous ferons le point sur le diagnostic de cette pathologie, et envisagerons comment y faire face, que l’on soit un collègue de travail, un conjoint … ou un thérapeute !
- Comment recevoir une critique code S52
Recevoir une critique nécessite d’abord de distinguer les constructives des malveillantes On écoutera le contenu, bien sûr, mais aussi le contexte, le non-dit, les interprétations et le contexte global.
Mais une fois qu’on est sûr que la critique et constructive, justifiée, et argumentée, reste la grosse question de quoi en faire à l’intérieur de soi.
Pas facile de changer aussitôt, et l’ego proteste souvent.
Alors, avançons-nous sur un chemin qui respecte chacun : celui qui critique et qui a le droit de s’exprimer, autant que celui qui reçoit cette critique et qui mérite bienveillance, patience et… pédagogie !
- Savoir donner une critique constructive Code S 53
Oui bien sûr, on a matière à protester, on est choqué et en colère, et on ne va pas garder ça pour nous ! Mais bon, si on veut être entendu et surtout avoir gain de cause, il faut peaufiner un peu la manière.
Car si le reproche est un jugement, si la critique est inconditionnelle, si le bruit qu’on aura fait n’aura servi qu’à nous défouler, il est probable que le bilan de l’affaire sera négatif, et que, sans doute, un autre conflit aura été initié, du simple fait de l’incompréhension voire du rejet de la personne dont on attendait… qu’elle tienne compte de notre avis au point de changer.
Alors respectons un protocole minimal quand on aborde un sujet sensible — surtout si l’interlocuteur est lui aussi… un « sujet sensible » !
- Quand un groupe doit prendre une décision S54
« C’est simple, on va décider démocratiquement à la majorité, et voilà ! »
Non, pas si simple, et surtout il existe d’autres modalités de prise de décision, chacune ayant de gros avantages et (encore plus) de gros inconvénients.
Faut-il attendre d’être tous d’accord ? La Saint Glin-glin n’est pas pour demain.
Faut-il s’en remettre à la décision du chef ? Mais est-ce un bon chef ? Et que faire des rebelles et des opposants ?
Il est donc tentant de chercher à ne récupérer que ces avantages en se passant des problèmes: hélas, c’est mission impossible et on ne peut avoir le beurre en gardant l’argent du beurre !
Reste à bien connaître les différentes possibilités, à les exposer avec franchise sans en masquer une partie, et à se mettre d’accord à l’avance !
Prendre un décision qui concerne tout un groupe – familial, professionnel, amical… est un vrai défi, à relever, à préparer, et à gagner !
• Harcèlement moral : sous le poids de l’emprise Code S 55
Désormais qualifié pénalement, le harcèlement moral provoque d’importants dégâts humains, particulièrement dans sa version sexuelle.
Souvent évoqué à tort, il demande à être soigneusement défini : ses contours sont nets, et excluent nombre de situations pourtant fortement inconfortables ou stressantes.
Nous en étudierons la définition, les conséquences personnelles et institutionnelles, et analyserons des exemples.
Et pour faire un peu de psychologie, nous poserons la questions du profil du harceleur… et de celui du harcelé.
• Burn out : la vie en feu Code S 56
Oui, on est brûlé, crâmé, consumé… Non, on n’a plus goût à rien et notre fatigue ne cède pas au repos.
Mais quelle est la définition exacte du burn-out ?
Après un bref historique, nous verrons ce qui risque de le provoquer et quelles en sont les conséquences.
C’est une affection grave, mais qui n’est pas à proprement parler une « maladie »: c’est une manifestation plurielle qui concerne le corps, la psychologie, les relations, la trajectoire professionnelle, et même le sens de la vie.
C’est dire la nécessité d’une collaboration entre les thérapeutes de plusieurs disciplines !
• Plan thérapeutique ou plan d’action : l’important c’est d’agir Code S57
Cet atelier est destiné à illustrer l’adage » Réfléchir avant d’agir » et concerne tous ceux qui font profession d’aider les autres, ou d’agir avec efficacité.
On a recueilli les signes importants que l’on va décider de retenir : on a fait de la « sémiologie ».
On a interprété ces signes, et on leur a donné une cohérence pour les expliquer et les comprendre : on a fait un « diagnostic ».
On va se baser sur ce diagnostic pour agir, intelligemment.
Pas besoin d’être médecin pour suivre cette séquence logique : thérapeute ou garagiste, il faudra bien respecter ces étapes.
A moins de prétendre qu’on « le sent comme ça », ou que » on pressent qu’il vaut mieux agir de la sorte ».
Sans dévaloriser la place de l’intuition, il est des cas où il vaut mieux s’appuyer sur un raisonnement consistant.
Tout cela est hautement pertinent en matière de relation d’aide et de psychothérapie.
• Diagnostic express d’un dysfonctionnement institutionnel Code AT2prime et AT seconde
Comment le repérage des structurations du temps dans un groupe oriente rapidement vers l’origine du problème, et propose une sortie de crise : Les travaux de Gilles Pellerin sur la base de la Théorie Organisationnelle de Berne.
• La psychopathologie vue par la psychiatrie classique Atelier S58
La classification des maladies mentales a toujours été le fort de la psychiatrie.
Les classifications issues de la médecine du corps sont extrapolables aux souffrances mentales : les symptômes se regroupent syndromes, les maladies sont évaluées sur des échelles subjectives, les maladies peuvent être aigües ou chroniques…
Depuis les années 50, il faudra bien renoncer à cette simplification extrême et se résoudre ne pas résumer la psychê à un organe de plus : puis ce sera l’efflorescence d’un terme apparemment technique mais carrément flou : » Le trouble mental ».
Cet atelier est destiné à simplifier la classification psychiatrique des affections mentales, depuis les plus anciennes (et démodées), jusqu’aux plus récentes, (et approximatives).
Nous oserons aborder les questions sensibles autour des anti-dépresseurs et de la bipolarité.
Mais l’abandon du traitement étiologique ( celui qui cherche la cause) n’est pas sans frais… Soulager un symptôme est déjà beaucoup !
• La psychopathologie vue par la psychologie humaniste Atelier S59
Le but de la psychopathologie est de comprendre pourquoi on souffre moralement, et trouver les moyens d’agir.
Il existe plusieurs cadres théoriques qui se sont donnés cette tâche : citons en vrac la psychiatrie, mais aussi la psychanalyse, ou le DSM, les thérapies cognitivo-comportementales ( TCC)…
Nous détaillerons dans cet atelier ce que la psychologie humaniste propose comme grille de lecture et d’action.
A chaque concept développé, est attaché un plan d’action éclairé par la cause qui l’a fait naître.
Nous passerons en revue les principaux éléments de cette psychopathologie centrée sur la personne, ses relations et sa croissance : les 3 P ( Puissance, Permission et Protection), estime de soi, économie des signes de reconnaissance, scénario de vie…
Principalement développés par l’analyse transactionnelle, ces ouvertures débouchent sur la possibilité d’un mieux-être sans forcément de médicament.
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• Quels sont nos principaux besoins et quelle stratégie pour les combler ? Atelier S510
Nos besoins sont nombreux, mais pas innombrables. On peut les classifier de différentes manières, et une chose est sûre : si un besoin n’est pas satisfait, cela a des conséquences néfastes sur notre équilibre et nos relations.
Nous verrons dans cet atelier à quels besoins les humains peuvent être confrontés : survie, interdépendance, jeu, accomplissement, autonomie, célébration… Ces besoins peuvent être physiques, psychologiques ou spirituels.
Il est aussi des faux besoins ( fumer, consommer, manipuler…) et des stratégies mauvaises ( piller les autres, les envier, extorquer…)
Les bonnes stratégies se reconnaissent à leur franchise, et au risque qu’elles prennent de laisser les autres libres de répondre librement .
Combler ces besoins peut être un « job à temps plein » ! C’est en tout cas une phase préliminaire et quasiment incontournable pour s’acheminer vers son désir et la quête de son accomplissement.
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• Les risques de confusion entre psychologie et recherche spirituelle Atelier S511
Certes une psychothérapie réussie ouvre la personne à sa dimension spirituelle.
Par ailleurs, un accompagnement spirituel adéquat peut avoir un impact notable sur l’équilibre psychologique.
Mais au delà d’une frange où les deux démarches se recoupent, il existe des différences importantes, qu’il convient de respecter sous peine d’abîmer chacune : en effet, les formations des intervenants sont différentes, les cadres et contrats également, ainsi que ce que viennent chercher les personnes.
Il vaut mieux que chaque intervenant reste professionnel dans sa zone de compétence, sous peine de proposer une psychothérapie approximative vaguement teintée de « spirituel », ou à l’inverse une pseudo-ouverture religieuse ombrée de psychologie bien-pensante.
A vouloir superposer les deux approches, on n’aboutit qu’à les affadir toutes les deux.
Nous verrons dans cet atelier les tenants et aboutissants de ces deux approches : ce qu’elles ont en commun, et ce qui les différencie radicalement.
• La violence Atelier S512
On aurait donc tant à dire sur la violence ?
Ses différentes formes ? Ses sources ? Les différentes réactions qu’elles provoquent ?
Et si les choses étaient (dramatiquement) plus simples ?
La violence ne peut être définie, mais on connait sa conséquence : la destruction, la souffrance et la mort.
Sa source ? Naturelle, quand c’est la foudre qui frappe à l’aveuglette.
Humaine quand elle est promue par la cupidité, l’envie, la disparition de l’attachement, l’effacement des limites, l’évitement de responsabilités. Cette liste est certes étoffée, mais pas interminable.
ll devrait bien y avoir un moyen de la prévenir, de l’éviter, de trouver des plans B !
Oui, il y a. Mais ces moyens ont tous en commun de se positionner largement en amont.
Quand le train est à 50 m du butoir, alors qu’il est encore lancé à toute vitesse, est-ce le moment de chercher des « solutions » ? Depuis combien de temps avons-nous négligé les alarmes qui clignotaient à tout rompre, les sonneries stridentes qui cherchaient à percer le silence de notre indifférence ?
Nous verrons les quelques stratégies qui nous restent face à un interlocuteur qui risque de passer à l’acte violent.
S’il est en train de passer à l’acte, pas d’autres alternatives qui fuir ou combattre.
Le mieux est d’anticiper, ce qui demande lucidité, courage et, la plupart du temps un postionnemment collectif.
Difficile d’ être non-violent et seul.
• La stratégie du dauphin Atelier S513
Cet atelier s’inspire des travaux de Dudley Linch et Paul Kordis publiés en 1994. ( Ed de L’homme)
Contrairement au requin, le dauphin n’est pas fasciné par la force.
Contrairement à la carpe, il ne s’aplatit pas pour éviter la confrontation.
Mais il agit avec conscience et flexibilité pour gagner la meilleure relation possible.
Il incarne le gagnant-gagnant, sans tomber dans l’angélisme frileux.
Nous verrons comment nous inspirer de son attitude pour être responsables des résultats qu’on obtient.
Nous confronterons cette stratégie avec des illustrations et des exemples tirés du témoignage des participants.
« Va voir quelqu’un » … Indications et contre-indications de la psychothérapie S 514
« Va te faire soigner! » ou bien « Il faut l’envoyer chez un psy » !
La psychothérapie est plus ou moins passée dans les moeurs, il est vrai souvent caricaturée.
Ses dérives sont certes nombreuses, représentées avec gourmandise par le cinéma ou la télévision : thérapeute silencieux, séducteur, cupide, illuminé…
Au bout du compte, quelles sont ses indications ? Nous dirons un mot des différentes classes de thérapie : celles qui répondent au pourquoi, au quoi ( quoi faire ?), au comment ( je me sens), au qui (me rend malheureux) ?
Qu’elles utilisent le corps ou uniquement les mots, les psychothérapies concernent souvent les émotions.
Quelles sont les conditions à remplir pour qu’une thérapie soit efficace ? Certains disent qu’il n’y en a que deux :
– la motivation du patient
– l’expérience du praticien
D’autres suggèrent que c’est un peu plus compliqué.
Nous aborderons enfin ses contre-indications : quand la thérapie risque-t-elle d’aggraver la situation, de faire perdre à la personne du temps et de l’argent, ou même la chance de s’en sortir autrement ?
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• Le racket ( sentiment- parasite) Code AT 1 prime et seconde ( 2 fois 1h30)
Sa place dans la vie quotidienne, son rôle dans le scénario, son utilisation en thérapie.
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• Les piliers de la cohérence et la hiérarchie des enjeux existentiels Code S 515
Nous devons au travaux d’Alain Crespelle une réflexion pointue sur la cohérence dont chacun a besoin pour cheminer dans ce monde.
Ce besoin vital de cohérence structure notre identité, notre rôle et finalement notre Moi.
Ce Moi est pluriel, puisqu’il contient notre histoire mais aussi notre vécu subjectif ainsi que le regard porté sur nous par les autres !
Derrière le jeu de mot autour des différentes acceptions du mot » sens », Alain Crespelle suggère que nous sommes soumis à une hiérarchie dans les enjeux qui sous-tendent notre vie : qu’est-ce qui peut prendre le pas sur la logique consciente, le contenu récent, le fonctionnement périphérique, la place de l’individu, sa quête de confort….
Tout cela peut sembler ( trop?) théorique, mais quand notre cohérence se fissure, on ne peut que balbutier : » Mais alors ?… Mais alors ?… » et d’importantes fragilités peuvent venir brusquement fracturer une vie que l’on croyait jusqu’alors bien « rangée ».
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• Donner c’est risqué ! Atelier S 61
On pourrait écrire aussi : « Donner, c’est risquer »
Donner est une action réputée positive, altruiste, généreuse.
Il est tentant de penser qu’on est quelqu’un de bien quand on donne : à son conjoint, à ses enfants, à ses parents, à ses amis, aux pauvres…
C’est une peu notre ration narcissique de survie : » au moins, si j’arrive à donner, j’ai plus de chances d’être apprécié par les autres ! »
C’est une action dont on escompte finalement un bénéfice personnel : soit qu’on attende de recevoir en retour, soit qu’on améliore l’image qu’on a de soi même.
Mais comment se fait-il alors que tant de gens se sentent mal à l’aise en donnant, ou même après avoir donné ?
Et combien également ne se sentent pas bien après avoir reçu ?
Nous ferons le point sur les avantages et les inconvénients du don, qui est si rarement « gratuit ».
Grâce à l’analyse transactionnelle, nous mettrons en perspective un chemin de don qui permette au donneur et au receveur de rester ajustés, dans une bonne distance et une relation féconde.
Et nous verrons que ce n’est ni facile, ni évident !
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